
J’ai fait le choix de partir deux mois en Inde du Sud. Deux mois pour pouvoir découvrir et peut-être comprendre certains aspects de cette région du monde. Deux mois pour avoir l’occasion de travailler et de voyager. L’idée était de diviser mon séjour en deux temps :
- Un premier mois orienté business à Bangalore.
- Un second mois orienté tourisme dans les régions voisines – Karnataka, Tamil Nadu et Kerala.
Me voici donc à Bangalore, la capitale indienne des nouvelles technologies. C’est aussi un énorme chantier, sans limites, une sorte de magma urbain en constante mutation. J’ai été étouffé par cette mégalopole. La ville semble complètement polluée :
- Pollution atmosphérique, à 18h elle est littéralement palpable. Les masques vendues en pharmacie ou dans les magasins de sport sont inutiles (même combat en France). Si vous cherchez un produit efficace, il faut s’orienter vers les références industrielles (exemple chez 3M).
- Pollution sonore. Le sport national ? Les battles de klaxons, all day, every day.
- Pollution visuelle, pollution olfactive. L’environnement est complètement saturé.
Ma première semaine fut difficile. Puis tout est rentré dans l’ordre et j’ai commencé à apprécier le ville.
La logique et la cohérence sont des notions relativement abstraites ici. Le mot terne n’a pas de sens dans cette ville, tout est contrasté. Les extrêmes se côtoient à quelques mètres de distance.
Courbe de kowabunga deux semaines après mon arrivée.